Améliorer ou booster son état général et son immunité
Avons-nous vraiment besoin des compléments alimentaires ?
Faites-vous partie de ceux qui pensent qu’avec une alimentation saine et équilibrée, on s’assure un apport suffisant en nutriments ? Dans les faits, normalement cela devrait être le cas (normalement…). Par le passé oui, nous pouvions le dire, mais selon les statistiques et l’avis des Naturopathes, les subcarences (c’est-à-dire les déficiences en immunité) qui sont induites par l’ensemble des facteurs de pollution -principalement électromagnétiques- entraîne aujourd’hui des dysfonctionnements que même une alimentation saine (bio, etc…) ne réussit pas à elle seule, à suffire.
Sans compter tous les dysfonctionnements hérités de nos parents et grands-parents : allergies, dermatites, maladies auto-immunes, alimentation industrielle, etc… Nous sommes donc responsables de notre organisme, responsables de la manière dont nous le respectons et en prenons soin. C’est à nous d’apprendre à connaître le fonctionnement basique de notre métabolisme, pour mieux le comprendre et mieux prévenir les maladies. Confier cette tâche au médecin uniquement, relève d’un désintérêt pour notre corps.
Dégénérescence programmée
C’est un fait, qui n’est plus à prouver, le vieillissement des cellules de notre corps est inéluctable. Le thymus, glande située derrière le sternum, perd progressivement ses facultés dès l’âge de 20 ans. Son altération entraîne une diminution des globules blancs, comme une armée qui compterait de moins en moins de combattants. Nous somme donc génétiquement programmés pour perdre nos défenses immunitaires et devenir plus vulnérable au stress oxydant.
Qu’est-ce que le stress oxydant ?
L’énergie nécessaire pour faire fonctionner notre corps est produite par des sortes de petites batteries, les mitochondries. En brûlant les sucres apportées par notre alimentation, elles fabriquent de l’énergie mais aussi des déchets : les radicaux libres. Avec le temps, comme un vieux moteur de voiture, les mitochondries polluent davantage. En nombre de plus en plus important, les radicaux libres agissent comme la rouille sur le fer.
Ils oxydent les cellules et induisent des mutations dans l’ADN. Ce qui peut être la cause de cancers ou de maladies cardio-vasculaires. Pour résumer, à partir d’un certain âge, nous sommes tous soumis au stress oxydant, mais ce stress est encore plus important chez les personnes atteints de maladies chroniques (maladies cardio-vasculaires, cancers, polyarthrite rhumatoïde…). C’est un symptôme qui va aggraver ces maladies.
Toxiques dans nos veines
Une étude toxicologique européenne révèle que notre sang est pollué par des dizaines de produits chimiques. L’ONG WWF France, a mené une enquête sur treize familles de douze pays Européens. Chaque génération (grands-parents, parents, enfants, agés de 12 à 92 ans) a subi des tests pour déterminer les substances chimiques présentes dans leur sang.
En tout, 73 produits chimiques dangereux ont été détectés chez les différents membres. Les enfants sont en moyenne plus contaminés que leurs parents -59 produits chimiques détectés contre 49- et les grands parents gardent dans leur sang des produits interdits depuis plusieurs années, ce qui prouve leur persistance.
La liste noire du WWF France, fait un inventaire de pesticides, de retardateurs de flamme bromés, de phtalates, du Bisphénol A, de composants perfluorés… Des substances qu’on retrouve pour certaines dans les téléviseurs, les ordinateurs, les tapis, les mousses d’isolation ; Pour d’autres dans des cosmétiques, des adhésifs, du PVC souple (jouet, emballage) et même dans des tétines de biberon en plastique.
Ces produits toxiques, sont soupçonnés de provoquer des cancers, des dérèglements hormonaux ou reproductifs, des diminutions du taux de sperme, des dommages au foie, des allergies…
Qu’est-ce que les C.O.V (Composés Organiques Volatils) ?
Ce sont des gaz et des vapeurs qui peuvent s’évaporer plus ou moins rapidement à température ambiante. Ils sont plus concentrés dans l’air intérieur que dans l’air extérieur.
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L’acétaldéhyde : classé cancérogène possible. Il est utilisé en synthèse organique, et dans les industries des parfums, des matières plastiques, des colorants. Dans l’air intérieur, il provient de la fumée de tabac (dans laquelle il est présent en forte quantité), des panneaux de bois brut et de particules, isolants, photocopieurs, etc..
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Le benzène : classé cancérogène avéré. Il provient de processus de combustion (dont le tabagisme), du transport routier, et d’activités industrielles. Ses émanations sont présentes aux abords des stations service. Dans les lieux clos, le benzène résulte à la fois des sources intérieures et du transfert de la pollution atmosphérique notable dans les agglomérations et zones industrielles. Les sources propres aux lieux clos comprennent les combustions domestiques telles que le tabagisme, la cuisson des aliments, le chauffage des locaux hors chauffage électrique, ou l’utilisation de bougies et d’encens ; divers produits (matériaux de construction et d’ameublement, produits de bricolage et d’entretien) présents dans l’environnement intérieur sont également susceptibles de contenir du benzène. L’air intérieur contribue donc de manière importante à l’exposition de la population au benzène. L’inhalation est la principale voie d’exposition au benzène.
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Le dichlorométhane : classé cancérogène possible. C’est un solvant de produits organiques très utilisé dans l’industrie chimique, dans le décapage de bois et métaux, comme dans de nombreux produits domestiques (vernis, laques, colles, adhésifs, aérosols,…).
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Le formaldéhyde : classé cancérogène avéré. Il est utilisé comme désinfectant ou biocide, comme fixateur et comme liant dans des résines (produits de bricolage, entretien, revêtements des murs, sols, meubles, plastiques, etc). Il est également présent dans la fumée de tabac. Il est souvent commercialisé sous forme liquide (couramment appelée formol), mais s’évapore facilement.
Sa concentration dans l’air des logements est jugée importante en France du fait des émissions à des niveaux faibles des bâtiments, des équipements, de produits de décoration ou domestiques. -
Le perchloroéthylène : classé cancérogène probable. Il s’agit d’un solvant industriel d’usage très répandu, notamment dans les installations de nettoyage à sec. L’exposition par inhalation au perchloroéthylène est principalement d’origine professionnelle.
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Le xylène et le toluène : inclassable quand à leur cancérogénicité. Ils sont utilisés comme solvants dans les peintures, vernis, encres d’imprimerie, colles, cires, insecticides, etc. Ils sont également utilisés dans les industries cosmétiques et pharmaceutiques.
Sources :
« Impostures et vérités sur les aliments » Laurent Chevallier médecin Nutritionniste
Classement des toxiques : règlementation REACH sur ecologie.gouv
Stress oxydant : Pr Luc Montagnier, co-découvreur du virus du Sida.
Toxiques dans nos veines : étude du WWF France
Composés Organiques Volatils : centre de lutte contre le cancer Léon Bérard à Lyon (69)
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